Après sa guérison par la Vierge Marie, au début de la nuit du 18 au 19 février 1876, Estelle Faguette a pris un bon moment d’action de grâce silencieux, ne laissant rien apparaître, puis elle a demandé à son père deux verres de bière, avant un bon bouillon.
Il nous plait de voir 2 motifs en ces 2 verres :
1- Reconnaissance et émerveillement après la santé retrouvée : Estelle savait s’arrêter et s’assoir en laissant remonter en soi la joie du don de la vie.
Malgré les difficultés qui ne l’ont pas épargnée tout au long de sa vie, Estelle a toujours cultivé et communiqué l’admiration à la fois naturelle, comme pour les fleurs, fruits et légumes de son jardin, et surnaturelle, comme pour la beauté de la Vierge Marie.
2- Réflexion et partage : Simple, enjouée, vive et loquace, Estelle aimait partager des blagues, des jeux, son habileté manuelle mais aussi ses conseils, sachant être à l’écoute.
Notre monde est surchargé d’information, mais en même temps, peu de choses restent vraiment dans notre esprit. Beaucoup de gens considèrent la vie quotidienne comme éphémère et parfois même superficielle. Pourrions-nous passer à côté de l’essentiel ?
Le parc du sanctuaire de Pellevoisin offre le repos favorable pour prêter attention à ce qui est vraiment important pour nous.
Quelques gorgées de Pils’voisine disposent à regarder la vie quotidienne plus sereinement ! Alors que les évènements du monde actuel nous rappellent que nous nous ne sommes pas tout-puissants comme Prométhée, qu’il est précieux de réfléchir, seul ou à plusieurs, à ce qui compte pour nous.
Ici ou chez soi, partager calmement un verre bière, c’est l’occasion de prendre un temps de réflexion et de rencontre confiante, afin de reprendre le chemin avec le courage, que suscite la perception d’une “nouvelle présence” dont la profondeur se dévoile petit à petit.